Discussion virtuelle de haut niveau sur la valorisation des infrastructures fondées sur la nature

Cet événement marquera le lancement du Centre de ressources mondiales des infrastructures fondées sur la nature et offrira un point de vue unique de la part de chefs de file dans ce domaine sur la manière de développer ces infrastructues  et de tirer le meilleur parti des services innovants offerts par la nouvelle plateforme.

 

Ce Centre est une initiative du Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et de la Fondation MAVA qui se sont associés avec l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI) et l’Institut international du développement durable (IIDD).

Comment faire en sorte que les nouvelles infrastructures soient rentables, respectueuses de l’environnement et résilientes aux changements climatiques ? La réponse se trouve dans la nature. Construire avec la nature offre une alternative plus durable aux infrastructures artificielles ou “grises”. Leurs caractéristiques régénératrices les rendent plus efficaces et moins coûteuses à gérer et à entretenir – avec une bien moins grande teneur en carbone, elles peuvent aider les communautés à s’adapter au changement climatique et elles offrent un large éventail d’avantages supplémentaires, de la création d’emplois à l’amélioration du bien-être des citoyens.

À long terme, elles offrent un bon rapport qualité-prix, alors pourquoi la valeur des forêts, des mangroves, des zones humides, des prairies, des terres agricoles, des arbres et des espaces verts est-elle si souvent négligée ? Si les infrastructures fondées sur la nature ne sont pas suffisamment développées pour réaliser leur potentiel, c’est parce que les connaissances sur leurs performances, leur prévisibilité et leur viabilité financière étaient jusqu’à présent limitées.

Le Centre de ressources mondiales des infrastructures fondées sur la nature vise à combler le manque de preuves auquel les investisseurs, les promoteurs de projets et d’autres parties prenantes clés sont confrontés lorsqu’ils évaluent l’opportunité d’investir dans la nature.

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